Répondre aux besoins des communautés les plus vulnérables passe nécessairement par le déploiement de services sociaux adaptés, connus des personnes concernées et accessibles sur les plans organisationnels, financiers et culturels.
Cela implique un effort accru d’adaptation et de sécurisation culturelle de l’offre de services aux spécificités et aux réalités vécues par les populations marginalisées.
Il s’agit aussi de favoriser un meilleur travail en réseau des différents professionnels et organisations pour briser les effets de silos. Mais l’adaptation des services implique également de s’attaquer aux différents obstacles financiers qui persistent et limitent l’accès à la prévention, au dépistage et aux soins.
Le groupe de travail et de suivi de la mise en oeuvre des actions de l’Axe 4 du plan d’action est composé de membres des communautés concernées, de professionnels d’organisations communautaires ou universitaires (GAP-VIES, SIDEP +, Médecins du monde Canada, le CAPAHC, Dopamine) et de la Direction régionale de santé publique, et s’assure de réunir les expertises et expériences nécessaires.
05 juin 2019